Fréquemment acheté ensemble
Description
Cette dague médiévale en latex présente une finition simple et élégante parfaite pour un grand nombre de personnages en GN. Idéale pour les chevaliers, duellistes, nobles aventureux et guerriers vétérans, c'est une arme simple qui évoque un sens pratique tout en évoquant un certain prestige. Cette lame est la parfaite main-gauche pour un spadassin ou une excellente arme secondaire pour un épéiste.
Légende
L'assassin esquiva les gardes avec facilité alors qu'il se glissait dans les méandres du manoir ducal. Les sergents d'armes étaient clairement fatigués à cette heure et, pour être honnête, ils n'étaient pas très vifs même à leur meilleur. L’intrus tourna un dernier coin et fit son entrée dans le bureau du duc lui-même, le noble travaillant tard sur des textes légaux dans ses quartiers. Il était seul, penché sur une pile de livres et de parchemins, concentré à cette paperasse de fin de soirée et vulnérable à la perfection. Alors que l'assassin fit son approche, il se pencha pour éviter de projeter son ombre sur le mur, mais ce faisant, un mouvement fit craquer faiblement le cuir de ses bottes. Sa victime ne sembla pas réagir, mais alors que l'assassin continuait de son mouvement furtif, le duc déposa sa plume pour se saisir de son gobelet de cire chaude, apparemment prêt à sceller le document sur lequel il travaillait. Ce fut au moment où l'assassin bondit pour frapper que le noble fit un volte face subit et lança le contenu du gobelet au visage du tueur, l'aveuglant et le brûlant au passage.
Esquivant de justesse la lame visant sa gorge, l'homme d'âge mûr se redressa de sa chaise d'un bond et chercha son épée de la main, seulement pour jurer dans sa barbe lorsqu'il se souvint qu'il l'avait laissé dans sa chambre plus tôt, las de porter la lourde lame. Heureusement pour lui, il ne se séparait jamais de sa dague et parvint à la dégainer juste à temps, alors que le tueur courroucé essuyait la cire de son visage cloqué, sa lame acérée brillant à la lueur des chandelles. L'assassin attaqua le premier, rendu furieux par la douleur, mais le duc parvint à se protéger en levant le bras. Le noble grogna de douleur, lacéré par le couteau, mais put enchaîner avec une riposte dirigée vers le flanc exposé du tueur. Sa loyale dague disparut entre les côtes du meurtrier, lui donnant une mort rapide. Alors qu'il tenait son bras ensanglanté, le duc fut surpris par un groupe de gardes ahuris qui surgirent en retard dans son bureau. Il éclata d'un rire franc à leur vue. Sa dague méritait plus un salaire que ces balourds.