Dague Kandjar

$160.00 CAD

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SKU : A6805

Type de manche: Moulé

Moulé

Longueur: 14''

14''

Couleur: Bronze - Normal

Bronze - Normal
Bronze - Ébréchée

Fréquemment acheté ensemble

Prix total :$960.00
Description

Description

Cette dague d'inspiration arabe est connue comme un kandjar, un couteau porté aussi bien comme arme que comme signe de statut. Fait en mousse, cette lame de GN présente une finition détaillée et une courbe élégante en faisant un excellent choix pour tout personnage d'inspiration arabique ou désertique, que ce soit un noble émir, sultan, sorcier ou vizir, ou un simple voyageur, roublard ou marchand.

Légende

Le jeune prince se tenait dans la salle du trône de son père et suzerain, entouré par des dignitaires et nobles aux traits sévères et aux expressions anxieuses. La situation était tendue dans la salle du trône, puisque l'émir avait contracté un mal que même les grands médecins de la cour ne pouvaient guérir. Il se mourrait et, avec sa mort, allait survenir une crise de succession. Sept fils avaient droit au trône, tous égaux en titre et en prestige. Un héritier devait être nommé, mais après que l'émir ait refusé de promettre la couronne à son aîné plus tôt pendant la journée, les nobles commençaient à craindre qu'il soit incapable de trancher, condamnant le royaume au factionnalisme et à la guerre civile. La ligne de succession était floue et la situation pouvait rapidement dégénérer en un dangereux jeu de coulisse. À la onzième heure, l'émir leva une main amaigrie et appela le jeune prince à s'avancer.

Il était le cadet de ses frères et techniquement encore un adolescent, n'ayant pas à la ceinture le couteau cérémoniel marqueur de son passage à l'âge adulte. Dans un geste empreint d'une lourde symbolique, l'émir mourant déclara d'une voix faible mais solennelle que son jeune fils n'avait plus sa place dans l'enfance. Il voulait le voir comme un homme avant de quitter ce monde pour le suivant. L'émir malade tira alors sa dague ornementée de son fourreau, le kandjar recourbé qui avait été non seulement le sien, mais aussi celui de tous les émirs avant lui. Lorsqu'il donna cette dague à son cadet, il avait à toute fin pratique nommé son successeur. Le vieil homme ne pouvait se contraindre à placer un de ses enfants explicitement au-dessus du reste, mais il avait tout de même donné sa bénédiction au prochain souverain du royaume.