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Description
Inspiré par la lame iconique du célèbre héro américain Jim Bowie, cet imposant couteau de chasse en mousse et latex présente un manche avec finition style bois de cerf. Idéal pour les coureurs des bois et autres personnages de forestiers et survivalistes, cet imposant couteau peut aussi bien servir pour des événements médiévaux fantastiques que pour des reconstitutions coloniales, western, ou même des GNs post-apocalyptiques.
Légende
Avec un soupir de contentement, le rôdeur se craqua le dos avec un grognement de satisfaction avant de se laisser glisser le long du tronc du grand arbre, ses yeux gris clair observant les grandes plaines devant lui en quête de signes de danger. Rassuré et apaisé, il baissa son chapeau devant ses yeux, protégeant son visage de l'aube qui pointait son nez au-dessus de la steppe. La fatigue accumulée le frappa d'un coup, même l'endurance du garde-frontière ayant atteint sa limite après la chasse des trois derniers jours, l'épreuve d'une vie pour le rôdeur. Alors qu'il s'enfonça dans un sommeil profond, il fut assailli de rêves vivides, des mémoires chaotiques de son duel épique avec la bête: le rugissement de l'ours chargeant avec ses griffes ensanglantées, des mâchoires avides de chair humaine cherchant sa gorge vulnérable, des yeux sombres déterminés à ajouter l’homme à sa longue liste de victimes.
Dans son sommeil, les doigts du chasseur s'agitaient, cherchant futilement la prise de son fusil. L'ours lui avait arraché des mains d'un revers de son énorme patte avant de pousser le chasseur au sol, l'écrasant sous sa masse énorme. La situation était désespérée, mais l'homme fut sauvé par son outil le plus simple et le plus loyal ; son bon vieux couteau de chasse. Dans un spasme paniqué, il trouva la poignée en bois de cerf dans sa paume et referma sa main autour de l'arme. Avec la force d'un homme regardant la mort droit dans les yeux, le rôdeur frappa la bête dans le cou, enfonçant un pied d'acier tranchant dans la chair du monstre mangeur d’hommes. Aussitôt que l'ours s’affaissa, sa mémoire s'effaça du rêve et le rôdeur put finalement dormir en paix. Alors qu'il prit quelques heures de repos, accrochée à l'arbre séchait la peau imposante de l'ours, attendant d'être tannée pour devenir un trophée digne de cette chasse légendaire.